March Member Profile

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CAPAL’s Member Profile for March is our first bilingual profile, and features Jennifer Dekker, Research Librarian at the University of Ottawa.

Black and white photo of Jennifer Dekker

Qu’est-ce que vous aimez faire pendant votre temps libre?
Je me promène dans les forêts urbaines près de chez moi avec mes deux caniches miniatures, Stella et Minnie. Stella est aveugle et âgée, et Minnie est beaucoup plus jeune. Nous passons du temps à explorer les zones naturelles d’Ottawa et de ses environs, ainsi qu’à rencontrer d’autres chiens. Je les emmène faire au moins une heure de promenade tous les jours de l’année, quel que soit le météo.

Quel est quelque chose que les gens seraient surpris s’ils savaient de vous?
When I was 13 years old, I had a surgery for a severe knee injury. During the surgery, I had anaphylactic shock in reaction to a drug. I was without any vital signs for a significant amount of time on the operating table. In medical terms, I was dead, but my lungs were pumped out and I regained consciousness. People who’ve had these experiences often say they see brights lights. I did as well, but I’m fairly certain they were the lights in the operating room. But sometimes I do wonder …

Sur quoi êtes-vous le plus excité de travailler en ce moment?
Je suis toujours très enthousiaste à travailler avec des étudiants. J’adore les questions de référence stimulantes, en particulier celles qui concernent la recherche de sources difficiles à localiser. Je travaille souvent avec des d’étudiants et chercheurs en histoire, donc une grande partie du travail consiste à résoudre des mystères historiques. C’est pourquoi j’aime le travail de service de première ligne – je le trouve très satisfaisant, surtout lorsque je peux localiser ces sources mystérieuses!

Avez-vous assisté à des conférences récemment? Quel était ta conférence préférée et pourquoi?
The most recent conference I attended was the Association des archivistes français (AAF) in St. Étienne, France. St. Étienne is located about 45 minutes south of Lyon. I had not been to France before the conference, and I gave a paper on a subject that is dear to me: the destruction of archives. I was part of panel of researchers that all dealt with difficult archives – archives documenting trauma. It was very satisfying to work alongside such caring and inspiring archivists. We had planned to give a second panel at Université catholique de Louvain in Belgium in 2020, but like so many other plans, these were put on hold due to the Covid-19 pandemic.

Pourquoi avez-vous décidé de joindre CAPAL?
Je suis devenue membre de l’ACBAP parce que je crois que les bibliothécaires académiques ont besoin d’un espace pour discuter de nos vies professionnelles et de nos conditions de travail. Il n’y avait pas de lieu pour cela avant la formation de l’ACBAP. J’aime aussi les colloques de l’ACBAP et j’ai eu la chance de co-présider le deuxième colloque à Ottawa en 2015.

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